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ABSTRACT
ABSTRACT
This article explores how students’ aspirations to study mathematics or physics in post-16 education are associated with their perceptions of their education, their motivations, and the support they feel they received. The analysis is based on the responses of around 10,000 students in England in Year 8 (age 12–13) and then in Year 10 (age 14–15). The students were first surveyed during 2008–2009 and then followed up in 2010–2011. t-tests revealed a decline in their perceptions of their mathematics and physics education. Factor analyses indicated subject-specific constructs that were associated with gender aspiration groups (i.e., high-aspiring girls, high-aspiring boys, low-aspiring girls, low-aspiring boys). High-aspiring girls were more likely than low-aspiring boys to be positive about mathematics/physics education, motivation in these subjects, and support received. However, high-aspiring girls were less likely than high-aspiring boys to be encouraged by their teachers and families to continue with these subjects post-16 and had lower self-concepts, intrinsic valuations, and perceptions of lessons. Low-aspiring girls reported the least favorable views of their mathematics/physics education of all four gender aspiration groups. Findings were generally similar for mathematics and physics, although students overall responded more favorably to mathematics than to physics. The quantitative findings are illustrated with extracts from longitudinal interviews (ages 15, 16, and 17) of two high-aspiring girls.
RÉSUMÉ
Cet article se penche sur les liens qui existent entre d’une part la volonté d’étudier les mathématiques ou la physique chez les étudiants de 16 ans et plus, et d’autre part la perception qu’ont ces étudiants de leur formation, leurs motivations et le soutien qu’ils estiment avoir reçu. L’analyse se base sur les réponses d’environ 10 000 étudiants de 8e année (12–13 ans), puis de nouveau lorsqu’ils étaient en 10e année (14–15 ans), en Angleterre. Le premier sondage a été effectué en 2008–2009, et le second en 2010–2011. Les tests t montrent qu’il y a eu un déclin dans leur perception de leur formation en mathématiques et en physique. Les analyses factorielles indiquent la présence de construits spécifiques liés à des groupes classés en fonction de leur sexe et de leur niveau d’aspirations (filles hautement motivées, garçons hautement motivés, filles peu motivées, garçons peu motivés). Les filles hautement motivées avaient plus souvent une meilleure opinion de leur formation en mathématiques et en physique, de leur motivation dans ces sujets et du soutien qu’elles avaient reçu, comparativement au groupe des garçons peu motivés. Cependant, les filles plus motivées avaient moins de probabilités d’être encouragées par leurs enseignants et leur famille à poursuivre une formation dans ces sujets que les garçons hautement motivés, et elles avaient également une moins bonne image d’elles-mêmes, une évaluation intrinsèque plus basse et une moins bonne perception des leçons. Des quatre groupes, c’est dans le celui des filles peu motivées qu’on trouve la perception la moins favorable de leur formation en mathématiques et en physique. Les résultats se sont généralement avérés comparables pour les mathématiques et la physique, même si, dans l’ensemble, les réponses des étudiants étaient plus positives à l’égard des mathématiques que de la physique. Les résultats quantitatifs sont illustrés au moyen d’extraits provenant d’entrevues longitudinales avec deux répondantes provenant du groupe des filles hautement motivées (soit à 15, 16 et 17 ans).